jeudi 5 juin 2014
Shabbat Shalom oumevourah ! Paracha Behaalotkha
Bien que la Ménorah soit d’un seul bloc, elle comportait 7 branches, 9 fleurs, 11 pommeaux et 22 coupes et sa hauteur était de 18 Tefa’him. (1 tefa'h = 8 cm)
Dans le premier verset de chacun des 5 Houmachim, nous découvrons une allusion à ces chiffres.
En effet, le premier verset de Béréchit comporte 7 mots comme les 7 branches de la Ménorah ; celui de Chémot comporte 9 mots comme le nombre de fleurs, le premier verset de Vayikra comporte 11 mots comme le nombre de boutons, celui de Bamidbar comporte 17 mots plus 1 pour le Kolel, ce qui correspond à la taille de la Ménora et le premier verset de Devarim comporte 22 mots comme le nombre de coupes. La Ménorah ressemble à la Torah car toutes deux illuminent...
L'huile de la Ménorah : était employée uniquement l’huile d’olive la plus pure. A l'époque, on ne se servait pas d’olives ordinaires. On préférait l’huile venant des olives de la ville de Tekoa, ville où vécut le prophète Amos. Cette ville était située dans la province appartenant à la Tribu d’Asher, qui reçut la bénédiction suivante de Jacob : « D’Asher viendra le pain savoureux et il fournira aux rois leurs mets les plus exquis. »
Il fallait cultiver les olives sur une terre vierge qui n’avait jamais été fumée artificiellement ou arrosée. On prenait les olives mûres et prêtes directement de l’arbre, et encore, c’était seulement les premières gouttes qui sortaient de ces olives de choix, légèrement pressées, qui étaient utilisables pour la Ménorah...
Copyright Caroline Haddad
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